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 La presse du 17 au 23 novembre 2003 avec Patricia Kaas
 

 

 

La presse du 17 au 23 novembre 2003 avec Patricia Kaas

 

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Paris Match, n°2844 (du 20 au 26 novembre 2003).

* Couverture *

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* Pages 68 & 69 *

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* Pages 70 & 71 *

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* Pages 72 & 73 *

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"Je me sens faible quand un amour me quitte. Mais très vite mon indépendance et mon goût de la liberté reprennent le dessus."

Ces photos vont en faire craquer plus d'un...

Je suis sensible à la pureté de ces clichés, simples, naturels. Je me vois plutôt sensuelle et romantique. Pour un homme, j'aime me déshabiller à la lueur des bougies. Je ne me suis pas dénudée pour être sexy...

Êtes-vous une mangeuse d'hommes ?

Je ne suis pas une fille qui change de mecs toutes les semaines, mais je ne suis pas à plaindre. En ce moment, je suis célibataire mais cela ne veut pas dire que je souffre de solitude. Je suis heureuse dans ma vie et heureuse dans ma passion, la musique.

On a du mal à croire que vous n'ayez pas trouvé l'âme soeur ?

Mon indépendance fait sûrement peur aux hommes. Je comprends que ce n'est pas facile de vivre avec une femme comme moi. Je suis forte, généreuse en amitié, en amour. Je suis fidèle. J'ai aussi des moments de doutes... Des défauts ? Je n'en ai pas. (Eclats de rire.) C'est pour ça que c'est dur de vivre avec moi, la perfection ça lasse !

Vous n'êtes pas un peu trop exigeante avec les hommes ?

Sûrement, lorsqu'on est indépendante depuis des années, on est exigeante. J'ai ma petite vie que j'ai créée, et il faut me la laisser un peu. Je ne supporte pas les gens jaloux, possessifs. Je n'appartiens à personne. Je ne veux pas changer ma vie, je pourrais seulement l'organiser différemment. Je n'ai pas un portrait précis de l'homme idéal. J'ai juste envie de partager des rêves avec lui.

Vous croyez toujours à l'amour ?

Oui, à la fidélité des gens, mais je n'ai jamais vraiment cru au prince charmant. A 25 ans, on veut bien y croire car ça fait rêver. Moi, j'ai aimé. J'ai eu de très belles amours et j'en aurai d'autres car je suis encore jeune !

Vous chantez "Le temps est compté, ce que l'on a construit s'est évanoui..."

A la fin d'une relation, quand je me sépare, je me sens toujours un peu faible car j'ai de la peine. Tout ce qu'on construit s'évapore. Je suis en admiration devant ces femmes qui tournent facilement la page. Moi, ça traine toujours un peu, avec un espoir, alors qu'il n'y en a plus. Mais, très vite, mon indépendance et mon goût de la liberté reprennent le dessus.

Après six ans de vie commune, vous vous êtes séparée de Philippe Bergman. Cette histoire est un échec pour vous ?

Non, j'ai vécu une belle histoire d'amour avec lui. J'ai souffert parce que cela ne s'est pas bien fini, c'est toujours un peu triste.

Dites-vous facilement "Je t'aime" à un amoureux ?

Non, ce n'est pas un mot facile à dire à un homme. Je ne le dis pas souvent. C'est pour moi un mot extrêmement fort.

Vous ne vous posez pas un peu trop de questions ?

Moins qu'avant ! Parfois, j'ai remarqué que cela compliquait des situations, alors j'ai travaillé là-dessus. J'ai pensé aller voir un psy, mais finalement j'y suis arrivée toute seule. Je sais aujourd'hui corriger mes défauts.

Vous sentez-vous fragile ?

Je me sens bien dans ma peau. Je suis très sereine. Je ne suis jamais tombée au fond du troi. Je positive souvent les situations. Aujourd'hui, il me manque un enfant. Je suis issue d'une famille nombreuse, nous étions sept frères et soeurs. Le temps passe, il faut que j'y pense. Je serai malheureuse si à 45 ans je ne suis pas devenue maman.

"Ma blessure" est un titre bouleversant...

C'était une chanson d'amour à la base, mais pour moi elle est dédiée à ma mère. Qu'on me laisse pleurer parce qu'elle n'est plus là. Je vis avec ma blessure.

D'où cette mélancolie qui vous colle à la peau ?

Je ne suis pas une femme triste, j'adore rigoler. Je souris souvent sur les photos, mais je ne les garde jamais car je ne me plais pas. Je suis une femme forte, mais il m'arrive de me lever le matin en étant fragile et de mauvaise humeur. J'ai mon passé en moi. Claude Lelouch m'a dit que lorsque je souris j'ai une certaine tristesse dans le regard. Et c'est ce qui me rend le sourire plus intense. Il m'arrive de me sentir abattue, seule, mais d'un autre côté, dès que je sors, je m'éclate. Quand je vais défendre ce nouvel album, on ne pourra pas se dire que je suis triste ! Il est puissant.

Cet album est un virage ?

Non, je ne crois pas. Je n'ai jamais été aussi bien servie, j'étais fière et surprise de découvrir qu'autant d'auteurs aient eu envie d'écrire pour moi. Les textes sont superbes. Je crois qu'aucun autre album n'est autant autobiographique. Il y a une chanson pour ma mère, une pour un de mes frères et même une pour mon nounours ! Quand un monsieur comme Roda-Gil dit : "Je n'écris plus tellement, mais si Patricia veut une chanson, je lui écrirai ", c'est un beau cadeau.

Pourquoi ne vous êtes-vous jamais mise à l'écriture ?

Je ne sais pas. Il y a toujours la peur de la première fois, une manque de confiance. Et puis en même temps, mes auteurs, comme David Manet, sont tellement à l'écoute et utilisent si bien mes mots qu'à la limite je ne ferais peut-être pas mieux. Quand on a quinze ans de carrière, et avec la génération d'aujourd'hui, entre "Popstars" et 'Star Academy", je trouve que j'ai été gâtée. Car écrire pour Jenifer ou Nolwenn, c'est pratiquement gagné d'avance. Alors, la force qui j'ai pu donner dans cet album, je la dois sûrement à tous ces auteurs qui ont eu envie d'écrire pour moi. J'ai de temps en temps besoin de me surprendre. Je suis contente car, dans cet album, j'arrive à exprimer une partie de mon caractère, qui est difficile à mettre en avant. C'est pour ça que j'ai choisi comme premier single "Où sont les hommes"... parce que c'est une chanson puissante.

Après quinze ans de métier, vous ne vous sentez pas, de temps en temps, dépassée ?

Non, je ne me sens pas vieille. Je suis quelqu'un qui vit dans son temps. Il y a des modes, les boys bands, les Spice Girls... Aujourd'hui, on ne regarde plus que les reality-shows. Je trouve ça bien. Les jeunes peuvent s'exprimer et apprendre. Et beaucoup ont du talent. Je regarde souvent. Ce qui me déplaît un peu, c'est le côté feuilleton que l'on met autour et son star-system... Et si à mon époque ces émissions avaient existée, je suis sûre que j'aurais essayé d'y participer.

Après la sortie de votre album, allez-vous remonter sur scène ?

Je pars en tournée au mois de juin, pour presque un an. J'ai envie de faire des concerts à l'étranger, des festivals. Le public me manque. J'ai hâte de la retrouver.

Et le cinéma ?

Il y a eu des projets de longs-métrages, des téléfilms... J'y vais doucement. Cette expérience aux côtés de Claude Lelouch était belle, et, j'ai vraiment envie de la revivre. Tout va dépendre du moment et du rôle que l'on me proposera. Je ne souhaite pas jongler de l'un à l'autre. J'aurais peur de négliger mon métier de chanteuse ou mes débuts d'actrice. Je doute encore beaucoup, je n'ai pas à 100 % confiance en moi. Si je peux jouer dans un film où je ne suis qu'actrice, je serai heureuse.

Peu connaissent votre passion pour la décoration ?

Et pourtant, cela m'intéresse depuis des années ! Aujourd'hui, mon appartement est bien décoré, mais il va falloir que je déménage ! En général, je suis assez claire dans ma tête. Mais pour mon "chez moi", je n'arrive jamais à me décider. Ca fait trois ans que j'habite Zurich et j'ai toujours trois ou quatre cartons qui ne sont pas encore déballés. C'est très étonnant de ma part car je suis très ordonnée. Peut-être n'ai-je pas encore posé mes valises !

Un entretien avec Catherine TABOUIS
Album "Sexe fort", Columbia. Sortie le 1er décembre.

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merci à Laurence pour les scans du magazine "Paris Match"

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TVMagazine n°18449 (du 23 au 30 novembre 2003).

* Couverture *

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* Page 20 *

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Lookée façon rock'n roll gothique avec de fines chaînettes suspendues à la ceinture, Patricia Kaas semble à la fois frêle et forte. D'une patience insondable (elle enchaîne les interviews depuis la matinée), la chanteuse joue le jeu de la promotion avec la simplicité qu'on lui connaît. Cette fan de Star Academy prépare la sortie, le 1er décembre, de "Sexe Fort", son septième opus.

Ce nouvel album semble définitivement plus rythmé...

Je voulais avoir un album plus puissant, plus direct. En fait, quand je suis sur scène, il y a l'émotion mais aussi une force. Et ça, de moi, on le connaît moins, malheureusement. Or c'est dans mon caractère.

Vous vous sentiez frustrée jusqu'ici ?

Pas vraiment, car j'ai toujours choisi ce que j'avais envie de chanter. Aujourd'hui, je n'ai plus envie de chanter des chansons sur le "prince charmant". J'ai envie de pouvoir dire : "ça ne fonctionne plus entre nous, arrêtons de perdre notre temps." Je suis beaucoup plus comme ça dans ma tête à présent. Par exemple, il y a une chanson sur l'album qui s'appelait au départ : "Je suis venue t'offrir mon coeur" et qui est devenue "Je ne veux plus te pardonner"... Cet album est autobiographique. J'y chante ce que je pense.

Goldman, Obispo, Renaud, Fiori, Cabrel, Eicher ont participé à cet album...

J'ai été surprise de voir qu'il y avait autant de monde qui voulait m'écrire des textes. Je n'ai jamais été aussi bien servie. Avec tous ces jeunes nouveaux qui arrivent, je m'étais dit qu'ils allaient écrire pour eux...

Justement, les "jeunes nouveaux" dont vous parlez, vous allez les retrouver sur le plateau de la Star Academy, samedi... Qu'en pensez-vous, vous qui vous êtes "faites" toute seule ?

Je respecte ceux qui ont envie de chanter et qui bossent. Jean-Pascal, lui, par exemple, était plus un personnage qu'un chanteur. Lui-même disait : "Moi, je suis là par hasard, on m'a proposé d'être chanteur." Ca, c'est insultant pour des gens comme nous. Ceux qui bossaient déjà avant d'être à la Star Ac' ont eu, grâce à elle, la possibilité de s'exprimer, d'apprendre. De nos jours, tu peux envoyer des CD ou faire des auditions dans les maisons de disques, ça ne sert plus à grand-chose... Si la Star Academy avec existé à mes débuts, je l'aurais faite. En plus, cela leur apprend à gérer leurs émotions, comme avec Sophia quand ils lui ont annoncé en direct qu'elle partirait le week-end voir ses parents et qu'elle devait enchaîner et chanter une chanson, les larmes aux yeux. C'est un bon exercice car c'est la réalité du métier.

Et ce que vous appréciez le moins dans la Star Academy ?

C'est le côté feuilleton tous les soirs comme si c'était des acteurs non payés... et le côté "star". Être star, ce n'est pas avoir des body-guards. Tout ça va retomber. Ils ne peuvent pas être tous les quinze au sommet. Quand ils sortent avec leur bus, avec tous les fans autour, je ne vois même pas quelle grande star a ça !

Votre avis sur la troisième édition ?

Je les trouve mieux que les autres car ils sont musiciens : Michal a fait des années de piano, d'autres font de la guitare, écrivent des textes, des mélodies... Ils ont fait un bon choix pour la tournée - un mec comme Lukas, qui n'est pas un chanteur, il le sait, saura apporter quelque chose au spectacle par exemple. Ce serait bien s'ils laissaient gagner un couple, pour une fois. J'ai entendu des bruits disant qu'ils voulaient faire gagner un garçon : si c'est le public qui vote, je ne comprends pas bien comment on peut "faire gagner un garçon"...

Vous semblez bien connaître le programme !

Je le regarde comme un feuilleton, comme je regardais Friends à une époque. Parfois je me dis : "Il est bientôt 19 heures, vite !" Je regarde même parfois les rediffusions, très tard.

Pour finir, allez-vous donner une suite à votre expérience au cinéma, après "And now... Ladies and Gentlemen" de Claude Lelouch ?

On m'a fait des propositions, et même de téléfilms, en tant qu'héroïne de série, mais je n'ai pas la tête à ça en ce moment. J'aimerais tourner un film mais sans être obligée de jongler de la musique au cinéma...

Propos recueillis par Nathalie CHUC
Samedi, 20h50, TF1.

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merci à Laurence pour les scans du magazine "TVMagazine"

 


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